Your browser doesn't support javascript.
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 8 de 8
Filter
1.
European Journal of Public Health ; 32, 2022.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-2309733
2.
Revue d'Epidemiologie et de Sante Publique ; Conference: Congres national Emois 2023. Nancy France. 71(Supplement 1) (no pagination), 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2302186

ABSTRACT

Introduction: La mortalite des residents d'Ehpad (Etablissement pour personnes agees dependantes) a augmente de 43 % pendant la premiere vague de COVID-19. Nous avons estime l'heterogeneite inter-Ehpad de la mortalite et identifie les facteurs de risque de deces durant cette periode, comparativement a 2019. Methodes: Dans deux cohortes de residents d'Ehpad geres par le regime general en France metropolitaine (donnees de RESIDESMS du 01/03/2020 au 31/05/2020 et du 01/03/2019 au 31/05/2019), l'heterogeneite inter-Ehpad de la mortalite etait mesuree dans une regression logistique mixte par le coefficient de correlation intraclasse (CCI). Les facteurs etudies comprenaient les caracteristiques des residents, notamment les pathologies reperees par la Cartographie des pathologies du Systeme national des donnees de sante (SNDS), et celles liees a l'Ehpad, notamment le departement et le statut public/prive. Le CCI a egalement ete estime separement dans les Ehpad avec aucun ou au moins un deces avec mention de COVID-19. Resultats: Parmi 385 300 residents (5339 Ehpad) inclus en 2020 (age median: 89 ans, 25 % d'hommes), 9,1 % sont decedes, contre 6,7 % des 379 926 residents (5270 Ehpad) en 2019. Dans le modele vide, le CCI etait de 9,3 % en 2020 et de 1,5 % en 2019. Seul le departement expliquait partiellement l'heterogeneite observee en 2020 (CCI: 6,5 % apres ajustement). Les associations etaient plus fortes en 2020 qu'en 2019 pour le sexe masculin et le diabete et plus faibles pour les cardiopathies, les maladies respiratoires chroniques et la residence <6 mois. Dans les Ehpad avec au moins 1 deces avec mention de COVID-19, la mortalite etait plus elevee en 2020 (15,1 %) qu'en 2019 (6,3 %) et plus heterogene (CCI: 8,0 %) que dans les autres (mortalite: 6,7 % les deux annees;CCI: 1,1 %). Discussion/Conclusion: Nous avons observe une heterogeneite inter-Ehpad de la mortalite lors de la premiere vague en 2020 qui n'existait pas en 2019, non expliquee par les caracteristiques des Ehpad, excepte le departement. Ce resultat renvoie a la geographie de la diffusion du SARS-CoV-2. L'heterogeneite inter-Ehpad semblait peu concerner les Ehpad non atteintes par la pandemie. Mots-cles: Personnes agees;Mortalite;COVID-19;Ehpad Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets.Copyright © 2023

3.
Revue d'epidemiologie et de sante publique ; 71(1):101504-101504, 2023.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2277363

ABSTRACT

Introduction La mortalité des résidents d'Ehpad (Etablissement pour personnes âgées dépendantes) a augmenté de 43 % pendant la première vague de COVID-19. Nous avons estimé l'hétérogénéité inter-Ehpad de la mortalité et identifié les facteurs de risque de décès durant cette période, comparativement à 2019. Méthodes Dans deux cohortes de résidents d'Ehpad gérés par le régime général en France métropolitaine (données de RESIDESMS du 01/03/2020 au 31/05/2020 et du 01/03/2019 au 31/05/2019), l'hétérogénéité inter-Ehpad de la mortalité était mesurée dans une régression logistique mixte par le coefficient de corrélation intraclasse (CCI). Les facteurs étudiés comprenaient les caractéristiques des résidents, notamment les pathologies repérées par la Cartographie des pathologies du Système national des données de santé (SNDS), et celles liées à l'Ehpad, notamment le département et le statut public/privé. Le CCI a également été estimé séparément dans les Ehpad avec aucun ou au moins un décès avec mention de COVID-19. Résultats Parmi 385 300 résidents (5339 Ehpad) inclus en 2020 (âge médian: 89 ans, 25 % d'hommes), 9,1 % sont décédés, contre 6,7 % des 379 926 résidents (5270 Ehpad) en 2019. Dans le modèle vide, le CCI était de 9,3 % en 2020 et de 1,5 % en 2019. Seul le département expliquait partiellement l'hétérogénéité observée en 2020 (CCI: 6,5 % après ajustement). Les associations étaient plus fortes en 2020 qu'en 2019 pour le sexe masculin et le diabète et plus faibles pour les cardiopathies, les maladies respiratoires chroniques et la résidence <6 mois. Dans les Ehpad avec au moins 1 décès avec mention de COVID-19, la mortalité était plus élevée en 2020 (15,1 %) qu'en 2019 (6,3 %) et plus hétérogène (CCI: 8,0 %) que dans les autres (mortalité: 6,7 % les deux années;CCI: 1,1 %). Discussion/Conclusion Nous avons observé une hétérogénéité inter-Ehpad de la mortalité lors de la première vague en 2020 qui n'existait pas en 2019, non expliquée par les caractéristiques des Ehpad, excepté le département. Ce résultat renvoie à la géographie de la diffusion du SARS-CoV-2. L'hétérogénéité inter-Ehpad semblait peu concerner les Ehpad non atteintes par la pandémie. Mots-clés Personnes âgées ;Mortalité ;COVID-19 ;Ehpad Déclaration de liens d'intérêts Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d'intérêts.

5.
European journal of public health ; 32(Suppl 3), 2022.
Article in English | EuropePMC | ID: covidwho-2102250

ABSTRACT

Certain percentage of population experiences persistent symptoms months after an acute Covid-19 episode (Long-COVID), with a significant impact on daily-life. Few studies exist on its prevalence and its impact among the general population. The main objective of this survey was to estimate the prevalence of Long COVID among the general adult population in France. Secondary objectives were to evaluate Long COVID management and to assess impact of this clinical condition on quality of life and mental health. Cross-sectional study was performed in March-April 2022 using an online self-administered questionnaire. The sample was selected by the quota method from a panel of volunteers. Its representativeness was ensured by appropriate weighting. Three groups were described: Long-COVID, COVID without persistent symptoms, never COVID. Post COVID-19 condition as defined by the WHO was applied for prevalence estimation. The prevalence was calculated by age and sex. Health care consumption and impact of Long COVID on quality of life and mental health will be studied comparing the three groups, using weighted adjusted polytomic regressions. Here, we present preliminary findings on Long COVID prevalence. There were 27,537 respondents, 52% females, mean age (SD) 49 (±16.5). Confirmed or probable COVID-19 was reported by 33.9% of participants;of whom 85.1% had confirmed laboratory test. Majority (65.1%) had COVID-19 <3 months ago. Long COVID concerned 1,086 (4%) participants. Prevalence was higher for females 4.6% vs. 3.3% for males, and among younger population for both sex groups. Overall, prevalence of Long COVID by age group was: 18-34 (6%), 35-49 (4.7%), 50-64 (3.4%), ≥65 (1.8%). This is a first estimation of Long COVID prevalence among the French population. Representativeness of the sample should be interpreted with caution due to a sample based on volunteers’ response. Ongoing analyses will provide clearer understanding of the impact of Long COVID. Key messages • This is a first estimation of Long COVID prevalence among the French population. • There is a significant portion of the French population impacted by persisting or reoccurring symptoms defined by Long COVID;its impact and care management will be further evaluated.

6.
European journal of public health ; 32(Suppl 3), 2022.
Article in English | EuropePMC | ID: covidwho-2102249

ABSTRACT

The study had 2 objectives, to: 1) evaluate the etiologic roles of frailty, multimorbidity and socioeconomic status on SARS-CoV-2 infection probability, hospitalization, intensive care unit (ICU) admission, mechanical ventilation and COVID-19 related mortality;2) investigate the prognostic roles of mentioned risk factors on the likelihood of hospitalization, ICU admission, mechanical ventilation, COVID-19 mortality, functioning, quality of life, disability, mental health and work absence. Three systematic reviews were performed, for each risk factor. The reviews shared first screening steps relying on a common population-based approach. Initial search took place on 7 April 2021 in PubMed, Embase, PsycINFO and WHO Covid-19 database. An update was performed for frailty only, on 1 February 2022, due to the scarce literature retained initially. Prospero registration number: CRD42021249444. Initial search retrieved 10 139 records;411 studies were read in full text. An update for frailty retrieved 565 records. Finally, the total number of included studies was: for multimorbidity, objective 1 N = 2, objective 2 N = 13;frailty, objective 1 N = 2, objective 2 N = 3;socioeconomic characteristics, objective 1 N = 57, objective 2 N = 30. The risk of severe short-term outcomes such as mortality, ICU admission or hospitalization increased with increasing disease burden and socioeconomic deprivation. Literature on long-term impacts was not identified. The evidence indicates a dose-effect association across all risk factors and outcomes. There is a lack of work conducted on population-based representative samples accounting for frailty and multimorbidity. Measures of multimorbidity and frailty were heterogeneous between studies. Most of the studies observing socioeconomic determinants were performed in the USA and the UK;hence the need for more research in different contexts. Further evidence is required in order to estimate the impact of crisis among general population.

8.
Archives of Cardiovascular Diseases Supplements ; 13(1):155, 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1043507

ABSTRACT

Background/Introduction: The Covid19 epidemic has a considerable impact on healthcare systems in France. Firstly by a flooding of hospital resuscitation services, as well as of the call platforms for emergency services. The strict lockdown of the French population decreed on March 17, 2020 has also completely changed the conditions for seeking healthcare. Purpose: The aim of our study was to give a first estimation of the impact of lockdown during the Covid19 crisis on the use of hospital emergency departments for the management of three groups of acute cardiovascular diseases: ischemic heart disease (IHD), stroke and pulmonary embolism (PE) Methods: The French hospital emergency departments OSCOUR network daily collects 93 % of national ED visits, which are transmitted each day to the French public health agency. The weekly number of visits and the proportion of hospitalization following these visits between January 1, 2019 and April 12, 2020 were compared with the same weeks of 2019. Results: During the first month of lockdown, the number of visits and hospitalizations after visits decreased by 35 % for IHD, 27 % for stroke, and 28 % (visits) and 18 % (hospitalizations) for PE compared to the same period in 2019. The decrease was even higher during the first three weeks of lockdown. The proportion of hospitalizations after visits was high and increased slightly for IHD (+3 %) and for stroke (+2 %), and markedly for PE (+8 %). Conclusion: These preliminary data show a major impact of Covid19 lockdown on the management of acute cardiovascular diseases with a likely delay for treatment. This could lead to an increase in cardiovascular sequelae and mortality in the following months. Data on hospitalization and healthcare expenditure should complete this first analysis to have a more precise estimation of the loss of chance caused by this crisis for patients not affected by covid19.

SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL